M. Et and .. Concours-que, paramédicaux et entre ça et mon souhait de devenir professeur, j'ai coupé entre-temps, donc j'ai repris des études, J'ai passé un BP JEPS et, p.47

B. P. Après-mon and .. .. Jeps, (semble réfléchir à la durée réelle pour avoir une réponse juste), non, plus d'un an...et j'ai fait des choses. J'ai passé mon bac, j'ai fait une prépa au concours d'orthophoniste, j'ai pas eu le concours d'orthophoniste mais on nous avait conseillé de passer d'autres concours, j'ai eu le concours d'infirmière, donc je me suis... je suis partie à l'école d'infirmière mais ça ne me plaisait pas, pas du tout, alors j'ai arrêté et j'ai travaillé pendant une année et après avoir travaillé

». and H. , je fais un diplôme qui me professionnalise pour avoir un travail derrière et je savais que de toute manière que je voulais être avec les enfants... donc j'ai passé cela en me disant que je pourrai faire un peu de direction ... je suis allée chercher du travail, là c'était un peu compliqué parce que dans l'animation c'est beaucoup de travail découpé. J'en trouvais du boulot mais souvent pas beaucoup d'heures ... pas d'évolution, des heures fractionnées où tu ne peux rien faire de ta journée parce que tu travailles 2 heures le matin, 2 heures le midi et 2 heures le soir. Cela ne me déplaisait pas mais pour toujours, cela ne pouvait pas aller et finalement, j'ai trouvé un travail à l'école Saint Joseph, de Belfort où j'ai été employée de vie scolaire. Je me suis retrouvée en situation d'enseignement. Ce n'est pas moi qui créais les séances mais j'encadrais les petits groupes. L'enseignante me disait ce qu'il fallait que je fasse avec eux, Je m'étais dit « Je ne vais pas reprendre mes études, p.49

, est après cette année-là que j'me suis dit « je vais reprendre mes études pour faire prof

. Donc, ai dû reprendre car je n'avais que mon bac ! J'ai donc repassé le DUT, p.50

. Dut and . Fait-une-licence,

, Donc concernant l'activité en lien avec la profession enseignante, on peut vraiment dire que tu as pu voir de quoi il retournait et que cela t'a décidé à embrasser cette carrière, c'est cela ? C'est cela et les postes d'auxiliaire de vie scolaire et employée de vie scolaire me plaisaient et j'avais fait avant AESH pour accompagner les enfants en difficultés et handicapés, p.52

, Si j'avais eu plus d'heures, je pense que je serai restée et si j'avais eu un vrai contrat aussi car ça me plaisait bien ! BPJEPS : brevet professionnel de la jeunesse

, BPJEPS : brevet professionnel de la jeunesse

, Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles

, Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education

, AESH : Accompagnant-e-s d'élèves en situation de handicap

, je dirai oui et non parce que du coup, j'ai ma grande soeur qui est professeure mais je ne pense pas que cela soit par rapport à elle...je pense finalement que même si je voulais pas forcément faire comme ma soeur, même si je m'entends très bien avec elle, Je vais t'interroger sur la vocation : y-a-t-il une influence familiale ? Heu

, inconsciemment je refusais de faire comme elle ! Elle était professeur de langue à la base, français langue étrangère en Espagne parce qu'elle voulait être prof d'espagnol. Elle a rencontré un espagnol et y est restée. Le français en Espagne c'est pas très développé donc elle ne trouvait pas d'emploi vraiment suffisant et puis elle s'est retrouvée à faire un remplacement dans un lycée français. Le fait qu'elle soit de nationalité française et qu'elle parle couramment français, cela a aidé et finalement elle est restée et a désormais une classe de CP après avoir eu de nombreuses années des CE1. Maintenant elle est professeure des écoles sans avoir le diplôme de professeur des écoles, elle est entrée par un autre biais et du coup, elle fait le même métier que nous en suivant les programmes français, Ta soeur est-elle plus âgée que toi ? Oui, j'ai 14 ans d'écart avec ma soeur et nous avons été beaucoup comparées si bien qu

. Justement, ont pas dissuadées d'embrasser cette carrière ? Pas du tout, nan ! De ce que j'entends, pas forcément de ma cousine mais dans le réseau familial, elle (la cousine) a l'air un peu ... enfin même si ça à l'air de lui plaire beaucoup, elle a l'air tout le temps débordé. Ma soeur

. Ainsi, il ne s'agit pas d'un choix « alimentaire » ? Cela n'a pas été pour ça, par contre si ce que j'ai fait avant en milieu périscolaire aurait été mieux rémunéré, je ne me serai pas remise dans les études si j'avais été mieux payé

&. Qu, Un enfant qui a beaucoup de capacité mais qui ne sait pas être bien avec les autres, je pense que ça ne sert pas à grand-chose finalement ! S'il a plein de connaissances mais qu'il n'a pas de valeurs derrière, cela ne sert à rien. Pour moi, c'est vraiment la collectivité... permettre à l'enfant de pouvoir se développer sur le plan social et intellectuel dans la société, en fait ! Qu'on lui donne des cartes pour qu'il puisse vivre le mieux possible, à son échelle. On sait qu'on a des élèves qui ne pourront pas intellectuellement, ils ne seront pas les premiers de la classe mais ce qui intéressera c, Quelles valeurs tu penses que l'on transmet ? Pour moi, déjà avant tout

. Pour-l'entrée-dans-le-métier, est-ce que tu as rencontré des difficultés ? Elles peuvent être variables et concernées les élèves

. Ben-oui, Je me suis faite la réflexion souvent que moi j'étais déjà dans le milieu scolaire car j'ai eu une expérience, voire même plein d'expériences avec les enfants et j'ai déjà vu comment cela se passait dans les classes alors les gens qui se retrouvent... passent leur concours comme ça, les candidats libres qui se retrouvent devant une classe, comment ils font ? Ensuite, c'est par rapport à ma situation de classe, ben, trop d'élèves ! Je me suis retrouvée avec une classe avec presque 30 élèves donc pour débuter... ça fait beaucoup et c'est en plus un double niveau et gérer le double niveau, avec beaucoup d'élèves, dont certains hyper-difficiles, il faut donc savoir comment agir : j'avais l'impression de savoir comment faire mais la mise en pratique, ce n'est pas forcément évident. Après, au niveau de l'équipe, je ne peux pas dire que j'ai une mauvaise équipe. On est une petite équipe, deux classes donc je n'ai pas beaucoup de personnes vers qui me tourner, déjà le manque de formation, d'accompagnement. Je trouve que l'on voit beaucoup de choses très théoriques, très larges et qu'on n'arrive pas à faire du lien avec ce que l'on doit mettre en place

, Je me pointe aux réunions et j'ai l'ordre du jour à ce moment là ! Ils font une sortie de fin d'année et comme d'habitude ils ne me disent qu'au dernier moment que la journée à lieu aujourd'hui (entretien le 3 mai). Pour le projet d'école, j'ai mis 3 semaines après la rentrée pour l'avoir alors que je le demandais depuis juin, lorsque j'ai su que j'étais dans cette école. Ma collègue, je m'entends très bien avec elle quand on se voit. Quand je l'ai rencontré, j'me suis dit que ça allait être super cool de travailler avec elle car elle avait l'air de savoir ce qu'il fallait faire, très importante mais ce n'est pas elle qui va pouvoir me dire ce qu'il faut que je fasse

, Et l'institution car je sais que tu as bénéficié d'un suivi (DAP), est-ce que tu as trouvé qu'ils (les PEMF , conseillers pédagogiques, inspecteur...) ont été vraiment biens, p.54

O. Au-début, J'ai rencontré le directeur de la formation qui m'a dit que la gestion de classe, même avec beaucoup d'expériences c'était difficile car avec certain on ne peut rien faire. Il m'a dit que l'an prochain j'allais souffler et profiter. Ce jour-là, après la journée à l'école, il m'a demandé comment cela s'était passé. J'ai répondu « très bien » et il m'a dit « il faut se rattacher à ça ! ». Il m'a dit que parfois il y a des élèves qui pourrissent tout et que ce n'est pas pour autant qu'on est de mauvais enseignants. Donc, cela m, parce que je les ai rencontrés pour des échanges qui m'ont plutôt fait du bien

, Professeur des écoles maître formateur

, aller observer une classe, et moi je lui ai dit que c'est avec ma classe que j'ai des problèmes et que je ne pensais pas que cette observation me servirait. On m'a envoyé quand même aux Résidences en observation

, Pour revenir à cette réunion avec le responsable de la formation, ma tutrice et la directrice de l'école, il y a des choses qui ont été décidé pour un suivi. Ils m'ont aussi dit que c'était à moi de demander à ma collègue l'autorisation de venir l'observer afin que je puisse voir comment elle se débrouille avec les élèves. Je trouve que cela n'aurait pas dû se passer comme ça. Pour moi, ils ont décidé de mettre en place le dispositif et je pense donc que ma collègue aurait dû être avertie par eux et elle n'aurait pas osée dire non à une observation de ma part dans sa classe si eux avaient demandé. Ils n'auraient même pas dû lui demander mais lui imposer en l'informant que je viendrai observer sa classe. Je suis donc allée en observation aux Résidences et l'enseignante a pris le temps pour qu'on échange et m'a dit que si j'avais besoin de quoi que ce soit, elle pouvait m'aider. Elle m'a aussi dit qu'aucune classe ne se ressemble et qu'il suffit d'un élève difficile pour tout plomber. En plus, lors de l'observation, son élève en difficulté n'était pas là ce jour-là et j'ai donc pas vu comment gérer les problèmes. Je n'ai pas été plus avancée sur le plan de la gestion de classe ! Quels sont les sentiments qui ont pu te submerger au moment de l, Jessica a souhaité faire l'observation au sein de son école et pouvoir constater par elle-même comment sa collègue gère la classe sur la fin de la semaine

, un qui se remet beaucoup en question car je pensais toujours que n'était pas eux qui n'allaient pas mais moi qui faisait mal et puis, disons, que je n'étais pas soutenue par ma tutrice. J'avais l'impression que c'était que moi qui faisait de travers. Donc beaucoup de doutes, j'étais persuadée que je pouvais faire ça, que tout le monde me le dit mais au final, est-ce que j'ai ma place là ? Tu tentes plein de choses et que rien ne fait, tu t'interroges. Ce n'est pas possible, il y a quelque chose que tu sais pas comment ça se passe. J'avais l'impression que cela se passait très bien pour ma collègue et puis pas bien avec moi et je me demandais si c'était bien la même classe. Comment ça ne va pas avec moi et ça va bien avec l'autre ? Au final quand elle a refusé la journée d'observation dans sa classe ça a été un mal pour un bien parce que je me suis dit que ça ne se passait peut-être pas aussi bien pour elle. Personnellement, si tout va bien dans ma classe, j'aurai accepté une personne en observation : que tu sois là ou pas ça ne change rien

, je cherchais tout le temps des solutions autres. J'essayais quand même de faire la part des choses. J'me disais qu'il fallait que j'essaie de faire quelque chose avec mon copain, que je vois du monde. Je ne peux pas rester à rien faire sinon cela ne va pas aller non plus. Je bosse toute la matinée, quitte à me lever tôt pendant qu'il fait la grassematinée. Au début, c'était compliqué, Dans les premiers temps, c'était assez difficile parce que j'avais la tête dans le guidon et comme ça n'allait pas

, Je me suis relâchée et je trouve que c'est super important de se donner du temps car quand ça ne va pas bien, il faut avoir du soutien mais aussi donner du temps à ceux qui nous écoutent. C'est trop important de s'accorder du temps et au début c'est ce que je ne faisais pas assez. Je vais réussir à répartir la tache de travail, à mieux m'organiser. Si je n'ai pas fini, c'est pas grave, je reprendrai plus tard ! Je pense aussi qu'il y a eu en début d'année une surcharge avec l'ESPE. On avait trop de cours qui ne sont pas du tout utiles sur le terrain et qui nous prennent des journées complètes alors que là, ça fait quelques mois qu'on a une journée de temps libre, comme les enseignants en poste qui ont leur mercredi et cela fait du bien. Maintenant qu'on a plus de temps libre, mes week-end, je peux en profiter ! Est-ce que l'on peut dire que ce mal-être est derrière toi Jessica ? Oui mais j'ai toujours le problème de la visite de titularisation même si je ne suis plus du tout dans la même optique qu'au début

, Je suis de nouveau contente d'y aller et quand je rentre chez moi, je ne suis plus désespérée. J'ai connu une période de doutes malgré tous le boulot que je fais. Je culpabilisais beaucoup vis à vis des autres élèves car j'avais deux élèves qui perturbaient le groupe. Ces deux éléments m

. As-tu-envisagé-de-démissionner-À-un-moment-donné-?-non, pas du tout parce que j'avais fait le choix de reprendre mes études et que j'ai fait 5 ans d'études pour faire ce métier et que je ne veux pas avoir fait tout cela pour rien. Je pense que si j'avais été dans la cas de certains qui passent un concours pour faire autre chose mais en ayant la possibilité de pouvoir retourner dans leur ancien boulot, j'aurai peut-être baissé les bras parce que je n'aurai pas investi tant de choses que cela

. As-tu-des-désillusions, heure actuelle vis à vis de ce métier ? Je le dis comme je le pense : ce boulot n'est pas la planque mais le fait d'avoir autant d'élèves m'empêche d'accorder du temps à tous et de faire des choses intéressantes avec chacun. Je vois bien que nous n'avons pas les moyens de bien travailler. Je me souviens du jour où j'ai eu la moitié de la classe absente en raison d'une épidémie

J. , est horrible de dire cela car ils étaient tous malades mais ça à été super car j'ai eu le temps de consulter et observer tous les élèves. Ça a été un vrai plaisir

, Est-ce que c'est un métier que tu envisages de faire toute ta vie ? Oui, oui, je souhaite vraiment m'épanouir dans ce métier et le faire longtemps. Je n'envisage pas de changer, p.76

, Il faut travailler mais s'imposer du temps et quand on a des difficultés, le dire. Le dire dans son entourage cela peut déjà faire du bien mais aussi le dire à des personnes ressources : il vaut mieux avouer que l'on a des difficultés, parler et trouver des solutions, c'est pour ça que j'ai accepté le dispositif quand on me l'a proposé. On ne peut pas rester tout seul avec ça ! Il ne faut pas rester seul et être accompagné c'est important, à la condition que l'accompagnement soit bien mené, Quels conseils pourrais-tu donner à ces jeunes qui viennent de passer le concours, vont l'avoir et être en poste à la rentrée prochaine? De prendre du temps pour soi

. Tu, La représentante syndicale parlait, lorsque je suis arrivée, de la personne qui était déjà sur mon poste l'an dernier, qui n'a pas été titularisée et qui avait rencontré les mêmes soucis, la même classe avec 21 élèves mais moi j'en ai 28 maintenant, exactement la même avec des élèves en plus pour moi, avec le même binôme et du coup elle m'a dit « Surtout n'hésite pas, on peut te soutenir, on peut aussi faire appui, on peut faire remonter l'information aussi . Il faut qu'à un moment donné qu'ils (les évaluateurs de l'éducation nationale) remettent en cause, pas que les stagiaires, parce que vous êtes quand même deux avec la même classe qui ont des difficultés donc ce n'est peut-être pas que les stagiaires, il y a peut-être autre chose derrière ». Peut-être qu'il y a un problème avec l'école, sans impliquer qui que se soit mais c'est la même classe, le même binôme et on rencontre les mêmes difficultés, c'est donc pas seulement Nous, pas notre personne ! Où se loge la difficulté majeure du métier selon toi ?, te tourner vers les syndicats mais moi je n'en ai parlé que maintenant, lors des moments des voeux d'affectation

, Je pense vraiment que la formation c'est trop théorique ! Ouai, il n'y a pas assez de pratique et après c'est un peu partout pareil. Moi, j'ai fait un DUT qui est censé être un bac+2, une licence donc le bac+3 et j'ai appris bien plus en BPJEPS qu'en licence ! C'était une 55 formation plus courte mais on était sur le terrain et je pense qu'il y a autre chose à réfléchir, en tout cas dans les premiers temps. Ce qui est difficile c'est d'être lâché comme ça

, Il y a l'ambiance qui est importante mais le fait aussi qu'on soit deux et qu'on n'ait pas la même façon de faire complique cela. Même si ma collègue veut m'aider, elle n'a pas forcément les éléments de réponses alors que dans une grosse équipe, forcément, il y a plusieurs personnalités, Je pense aussi que l'équipe avec laquelle tu travailles, ça joue beaucoup

, Je n'ai pas de mal à en parler. J'ai eu du mal à en parler parce qu'à un moment donné quand on est dedans (dans les soucis), ce n'est pas simple mais plus maintenant. Brevet professionnel de la Jeunesse, Est-ce que cet entretien à fait émerger des souvenirs émotionnels douloureux ou gênants ? Non, non pas du tout

, Tu penses que c'est lié à quoi le fait que l'on ne puisse pas en parler ? C'est la peur du jugement, la honte

, La honte, non mais je pense que c'est plus, même si je ne me compare pas avec les autres, se dire qu'avec les autres cela se passe bien et que nous on a l'impression que cela ne va pas

, C'est forcément nous qui n'y arrivons pas. Pourquoi, les autres avec la même formation ça va et pas nous ? Je pense qu'on

, Est-ce que tu as pu quand même en parler à un moment donné, lors des GAP par exemple ? 56

. Qu, est-ce qui a fait que la parole se soit libérée ? Oui, lors des GAP il y en a qui ont osé parler

, Quand même, je me suis rendu compte que les gens disent que ça se passe bien et que finalement ça ne se passe pas si bien que ça pour tout le monde (haussement de ton sur le dernier mot comme si elle était presque en colère.). J'étais avec M. (amie de longue date et étudiante avec nous dans quelques cours car n'a pas réussi le concours) et elle me disait souvent « Tu sais, toi, tu l'avoues que t'as des difficultés mais pour les autres ça se passe peut-être pas si bien et ils font comme si tout va bien ». Et au final, en commençant à en parler, je me suis rendu compte au final, on n'a pas autant les mêmes exigences, les mêmes objectifs et du coup peut-être que ce que je trouvais horrible à vivre ne l'aurai pas été pour d'autres. Ç'aurait été « bof » pour certains et ça serait passé sans qu'ils ne se fassent du souci comme j'ai pu m'en faire. Moi, j'avais toujours envie de plus ! Il n'y avait pas grand monde qui n'avait aucune difficulté au final et donc je pense que même si c'était pas fait de la bonne manière, plus « pas envie de dire » ce qui m'arrivait car tout le monde à les yeux rivés sur nous

, Est-ce que tu souhaites ajouter d'autres choses auxquelles je n'aurai pas pensé dans cet entretien ou apporter des précisions sur certains points ? Non, non, j'ai pu dire tout ce que je voulais et j'espère que cela te servira

, Merci beaucoup pour le temps que tu m'as accordé et de t'être livré ainsi

, Durée de l'entretien : 37minutes et 04 secondes

, Groupe d'analyse de la pratique : dispositif d'échanges et d'écoutes qui concerne tous les PES. Il s'agit 56

, Durant ces moments, sont soulevées les difficultés rencontrées par les PES dans leur établissement, leur classe, avec les élèves, les parents, la hiérarchie